Lane, personne n’en parle mieux que celles et ceux qui l’utilisent au quotidien. Nous avons décidé d’interroger les Laners sur leur pratique quotidienne de nos lignes de covoiturage sans réservation, et leurs réponses sont étonnantes, enrichissantes, excitantes !
Découvrez les réponses de Yannick, qui utilise Lane depuis ses débuts :
Qui es-tu, et quel est ton historique avec Lane ?
Je m’appelle Yannick et j’utilise le service Lane depuis la première année. Je l’ai utilisé pendant 2 ans en tant que conducteur, puis presque exclusivement en tant que passager.
Tu empruntes quelle ligne et quels arrêts ?
J’utilise la ligne entre Bourgoin-Jallieu et Saint Priest, pour me rendre ensuite à mon travail, qui est à Bron. J’aime bien le trajet du soir, parce qu’on a un peu plus de temps pour discuter.
Comment as-tu découvert Lane ?
Je faisais du covoiturage avec une personne qui connaissais déjà Lane depuis 2 mois, c’est lui qui m’a fait découvrir le service.
Comment Lane a changé ta vie ?
Je ne fais plus mes trajets quotidiens au volant de ma voiture ! Ce qui représentait plus d’une heure par jour, ce qui est ennuyeux, pénible, difficile. C’est beaucoup plus sympathique de faire ses trajets en passager, d’autant qu’on rencontre des personnes, c’est très intéressant !
Quelles étaient tes craintes ou tes préjugés ?
Non, je n’avais aucun préjugé sur le covoiturage, d’autant que j’en faisais déjà un petit peu. Même si j’avais fait quelques essais de covoiturage prévu à l’avance avec certaines personnes, et c’était parfois difficile, notamment à cause du facteur humain. Avec Lane, on change de conducteur tous les jours, c’est sympa ! Et on n’a pas besoin de s’engager, c’est beaucoup plus serein, souple et intéressant avec Lane.
Ca se passe comment tes covoiturages au quotidien avec Lane ?
C’est agréable, d’autant qu’au bout d’un moment on fini par connaître les Laners, on est content de les revoir quand on ne les a pas vu depuis 2 ou 3 mois, mais on est aussi content de rencontrer de nouvelles personnes ! Et il y a une bonne ambiance entre les conducteurs et les passagers, et Lane est souvent le sujet qui permet d’entamer la conversation.
Si tu devais présenter Lane à un ami, que lui dirais-tu ?
Je lui dirais qu’il peut économiser beaucoup d’argent, qu’il peut se faciliter le trajet, être beaucoup moins fatigué au quotidien, qu’il peut faire des rencontres sympathiques, et que Lane lui permet aussi de moins polluer la planète. Mais il faudrait que nous soyons encore plus nombreux que ça aie un impact important ! Il y a encore beaucoup de voitures avec une seule personne à bord sur l’A43… Et il y a souvent des bouchons, il faut bien compter 10 à 15 mn de plus quand c’est embouteillé.
Selon toi, que faudrait-il faire pour que davantage de personnes utilisent Lane ?
Pour moi, il faudrait plus d’arrêts de destination. Je connais beaucoup de conducteurs qui, par exemple, aimeraient avoir un arrêt à Villeurbanne, ou au sud de Lyon, par exemple à Venissieux, Feyzin…
Quelles sont tes astuces pour covoiturer avec Lane ?
L’expérience m’avait montré que ça marchait mieux à certains horaires, mais avec la crise sanitaire c’est beaucoup plus variable.
Est-ce que tu prends des précautions particulières avec la crise sanitaire ?
Je suis attentif à la désinfection des mains, et je porte un masque. Je m’installe où souhaite le conducteur, parfois c’est devant, parfois à l’arrière. Je m’adapte aussi en fonction des conducteurs.
Que dirais-tu à quelqu’un qui hésite à covoiturer avec Lane ?
Je lui dirais qu’il faut faire un petit effort, qu’il faut essayer ! Parce que l’essayer, c’est l’adopter ! J’essaie d’ailleurs de convaincre les conducteurs, pour qu’ils passent de l’autre côté et qu’ils deviennent passagers, surtout quand ils travaillent près d’un arrêt Lane.
Tu utilises justement l’abri à vélo de Saint-Priest pour finir ton trajet. Comment ça se passe ?
En effet ! J’utilise Lane pour faire mon trajet jusqu’à Saint-Priest et ensuite, comme d’autres personnes, j’utilise un vélo pour faire la dernière partie du trajet jusqu’à mon travail jusqu’à Bron. Mon vélo reste donc en sécurité dans l’abri mis à disposition par Lane, et entre l’arrêt et mon travail, j’ai 3 à 4 km, ce qui se fait sans problème à vélo, d’autant qu’il y a des pistes cyclables. Si je faisais tout le trajet avec ma propre voiture, je ne gagnerais que quelques minutes. Et puis ça entretient la forme, de faire un peu de vélo tous les jours !
Est-ce que tu as aussi changé tes habitudes dans la vie courante, en plus du moyen de transport ?
Je ne suis déjà pas, à la base, très attiré par la société de consommation. Tous mes achats sont très réfléchis, notamment sur le plan alimentaire. Donc j’y suis attentif, sans faire d’efforts particuliers, c’est une attitude générale.
Merci Yannick, bonne route avec Lane et à bientôt !